Alors que l’on s’approche du centenaire du début de la Guerre de 14-18, Claude Ribouillault, mandaté par le comité du pilotage du centenaire de la première guerre mondiale, nous raconte le quotidien des poilus.
La musique, ou le seul moyen de s’éloigner de la réalité des tranchées. Malgré l’interdiction de la pratiquer en première ligne, elle s’affirme comme étant l’échappatoire à la réalité de la guerre. A l’époque la musique était beaucoup plus répandues qu’aujourd’hui, il n’était pas rare d’ailleurs de voir des guitares ou des violons bricolés avec des objets de récupérations.
Très présente dans la vie des français de l’époque, la musique restée leur seule manière de « s’évader » durant la grande guerre. Une preuve que la musique est depuis longtemps un remède contre l’ennuie qui remonte le moral. On peut se demander pourquoi elle est tombée en désuétude à l’issue de la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui beaucoup moins de personnes pratiquent la musique, et les facteurs d’instruments les plus prestigieux souffrent de la crise.
Sources: lanouvellerépublique.fr